La démence et la maladie d’Alzheimer deviennent un problème toujours plus important aux quatre coins du monde.
En 2018, ces affections touchaient 7 % des 60 et 65 ans et plus en Europe, et même 11 % aux États-Unis. Pourtant, certaines populations s’avèrent à peine concernées (1 %), comme les tribus de la forêt amazonienne.
Il existe donc clairement un facteur d’influence. Le milieu de vie industriel et sa pollution et son alimentation industrialisée jouent certainement un rôle.

Toutefois, une étude récente s’est concentrée sur un autre facteur : l’activité physique. Un lien positif s’avère exister entre l’activité physique et les fonctions cérébrales. Cela s’avère également être le cas dans les ‘Blue Zones’ où de nombreux centenaires en bonne santé vivent d’une façon disproportionnée. Force est de constater que ces personnes « ne prennent pas leur retraite », mais restent jusqu’à un âge élevé mentalement, physiquement et socialement actives et autonomes.
Selon Casaletto, cela s’explique principalement par le fait que l’activité physique maintient et stimule les synapses (connexions neuronales). Même en présence d’anomalies (plaques), cela permettrait d’assurer la santé des synapses cérébrales et de protéger contre la démence.

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