Cela semble trop beau pour être vrai, et c’est le cas.
Ozempic agit sur l’hormone GLP-1 (glucagon-like peptide-1) et réduirait la sensation de faim et ralentirait la digestion. Le successeur Mounjaro booste le GLP-1 et le GIP (peptide insulinotrope dépendant du glucose), offrant un effet encore plus important.
Il s’agit en réalité de deux médicaments contre le diabète dont on « abuserait » pour maigrir. La conséquence ? Ces derniers sont parfois indisponibles pour les patients diabétiques qui en ont vraiment besoin.

En outre, ils sont loin d’être innocents : les nausées, les maux de ventre et l’indigestion, la diarrhée et la constipation, les vertiges et les calculs biliaires sont les effets secondaires les « plus discrets ». Mises en garde plus sérieuses : des problèmes gastriques, une pancréatite, une insuffisance rénale, une grave réaction anaphylactique voire un cancer constituent des risques cachés. Le médicament Mounjaro, en particulier, est déjà connu pour le cancer de la thyroïde.

En outre, il s’avère que de nombreux utilisateurs ne perdent pas un gramme, malgré les effets secondaires indésirables. Et les kilos perdus reviennent aussi tôt que l’on arrête le médicament.
C’est également onéreux ! Donc, à qui appartiennent les comptes en banque alimentés d’Ozempic ?

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