Alors que l’industrie pharmaceutique et des médecins s’acharnent à trouver une solution, de plus en plus d’études scientifiques sont publiées, qui démontrent le lien entre le statut nutritionnel de patients contaminés par le COVID-19 et la gravité de leurs symptômes. L’utilité et l’intérêt de la vitamine C se sont avérés depuis le début de l’épidémie.
En outre, de plus en plus de preuves apparaissent pour d’autres vitamines et minéraux, à commencer par la vitamine D. Logique, vu que celle-ci joue un rôle déterminant dans l’immunité et en cas d’infections des voies respiratoires.

Le Canada recommande vivement à sa population de prendre des suppléments de vitamine D, il est suivi en cela par la Grande-Bretagne, avec même la proposition ici de donner ces suppléments gratuitement aux groupes à risques. Et ceci après la parution d’une étude anglaise, qui revendique un rôle pour l’immunonutrition contre et en cas de contamination au COVID-19.
La Suisse suit avec un ‘livre blanc’, qui, sur base des recherches disponibles et sur les résultats d’une étude approfondie menée en Suisse, publie des directives, qui recommandent à la population d’avoir un apport suffisant de vitamines C et D, de zinc, de sélénium et d’acides gras oméga-3, par le biais de compléments.

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