Depuis des dizaines d’années, l’incidence du trouble du spectre de l’autisme (TSA) et du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) augmente. Des indications épidémiologiques selon lesquelles ces troubles sont liés à la multiplication des vaccinations et des produits pharmaceutiques, dont le paracétamol, existent, mais cela est totalement nié, malgré une étude de 2008.
Depuis 1970, l’on avance que le paracétamol est un médicament sûr pour les enfants, ce qui n’a jamais été prouvé. Des études sur des animaux démontrent toutefois le contraire.
14 études épidémiologiques montrent qu’une exposition au paracétamol pendant la grossesse augmente considérablement le risque de troubles du développement neurologique, tels que l’autisme et le TDA/H.

Une étude récente apporte non seulement des preuves, mais en dévoile également les mécanismes.
Le paracétamol est partiellement transformé dans l’organisme en une substance hautement toxique (NAPQI), qui est normalement rapidement neutralisée par l’enzyme glutathion. Toutefois, en cas de stress oxydatif (élevé), cette enzyme est chroniquement utilisée…
La fièvre chez un bébé ou un enfant après un vaccin constitue un signe de stress oxydatif. Si l’enfant reçoit du paracétamol pour faire baisser la fièvre, la NAPQI n’est pas neutralisée ; en résultent de sévères dommages neurologiques.

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