L’aspartame constitue l’un des édulcorants les plus courants et est utilisé dans plus de 5 000 « produits alimentaires » aux quatre coins du monde. Particulièrement preoccupant est la consummation des boissons rafraichissantes faibles en calories par les enfants et les femmes enceintes.

Depuis des décennies paraissent des études sur les problèmes de santé, dont le cancer, dus à la consommation d’aspartame.
« L’incidence du cancer est liée au dosage. L’on constate déjà un risque de cancer accru pour de très faibles doses à peine supérieures à la dose journalière recommandée. L’exposition prénatale à l’aspartame entraine un risque de cancer accru pour les bébés, même à des doses plus faibles et à plus court terme (que chez les animaux adultes). »
« Une sérieuse raison de s’inquiéter de la santé publique, étant donné la consommation largement répandue de sodas contenant de l’aspartame chez les enfants et les femmes enceintes ! »

Les recherches et leurs auteurs ont été tournés en ridicule et leur travail a été entravé par le lobby des édulcorants pendant des années. Néanmoins, une étude de suivi approfondie a confirmé que l’aspartame est cancérigène. Sa consommation entraine un risque statistiquement accru de tumeurs hématolymphatiques* en raison de modifications et d’inflammation des lymphocytes (une sorte de globules blancs).

Le 14 juillet, l’OMS recensera enfin l’aspartame comme étant « potentiellement cancérigène pour l’être humain ». Le lobby des édulcorants contre-attaque déjà…

*Tumeurs hématolymphatiques : cancers du sang et de la lymphe (glandes), lymphomes, leucémies, etc.

Comment apparaît un cancer ?
Stevia

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