En octobre 2023, le député européen Marcel de Graaff et ses collègues ont écrit une lettre à l’EMA concernant l’autorisation et la sûreté des vaccins à ARNm contre le COVID-19. Les auteurs demandaient le retrait de l’autorisation de mise sur le marché des vaccins.
La réponse à cette lettre est choquante.
Marcel de Graaff : « La lettre stipule clairement que l’autorisation de mise sur le marché valait uniquement pour “la protection individuelle” et non pour lutter contre la transmission du virus, et que l’EMA ne disposait pas de suffisamment de données pour attester l’efficacité et la sûreté des vaccins. Informations que l’EMA s’est gardée de partager aux citoyens. La dissimulation des effets secondaires a mis en péril la santé de toutes les personnes qui se sont fait vacciner… »

Joachim Kuhs : « De nombreuses personnes se sont fait vacciner à plusieurs reprises sur la base des informations transmises par l’EMA et l’État. En l’absence d’informations correctes, il n’a jamais été question de “consentement éclairé”*. La “déclaration attendue des effets indésirables” de l’EMA n’a jamais vu le jour, car les signalements au cours des deux premières semaines ont été rendus impossibles. Or, il s’agit de la période durant laquelle la plupart des effets secondaires se manifestent après un vaccin. »
« Aucune évaluation des conséquences vaccinales n’a donc été dressée, raison pour laquelle nous faisons désormais face à une “surmortalité” importante. Une “crise de santé publique”, non pas des suites d’un virus, mais des vaccins à ARNm. La population a été poussée à participer à une expérience potentiellement létale. Beaucoup ont été blessés et si gravement atteints qu’ils ne peuvent plus mener une vie normale. Il s’agit d’une sérieuse violation du droit international… »

Marcel de Graaff : « Dès le départ, nous avons demandé le retrait immédiat de l’autorisation sur la base de tous les signaux de danger et des décès. Le remède est pire que le mal ! »
Affaire à suivre.
NDLR : L’EMA est financée à 80 % par des entreprises pharmaceutiques.

*Le consentement éclairé est obligatoire pour tous les traitements médicaux et les « médicaments ». Si l’on ne connait pas les risques, il est impossible de prendre une décision éclairée.

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