L’on crie encore sur tous les toits que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont sûrs, et ce même pour les jeunes. Toutefois, plusieurs études scientifiques ont souligné, après la vaccination et les doses de rappel, une augmentation soudaine de problèmes cardiovasculaires chez les jeunes ainsi que chez les sportifs (de haut niveau) : myocardite, péricardite, arrêt cardiaque, mort subite, etc. Les chiffres ne sont pas transmis librement partout.

Au début, l’Israël constituait le pionnier et le premier en matière de vaccination à ARNm. Étant donné que les chiffres ont été tenus à jour, les résultats sont également clairs comme de l’eau de roche. Ces derniers ont été publiés dans la revue scientifique Nature :
« … une augmentation de plus de 25 % des appels d’urgence cardiovasculaires chez les jeunes (16-39 ans), qui ne sont pas associés à une infection à la COVID-19, mais aux périodes de vaccination. Un lien solide et significatif entre les appels d’urgence et les campagnes de vaccination (première et deuxième doses) dans cette catégorie d’âge existe. »
« Cela indique des complications cardiovasculaires sévères dues au vaccin et confirme le lien entre la vaccination à ARNm et la myocardite (cause connue d’arrêt cardiaque).
Mais les cas non détectés ou non diagnostiqués (surtout chez les filles) constituent aussi une cause fréquente d’arrêt cardiaque inattendu et de mort subite chez les jeunes. »

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