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2 mars 2023
Vaccin contre le HPV : les preuves de complications sévères continuent à croitre
| 02/03/2023 |
| 02/03/2023 |
Les chroniques se déchainent à nouveau concernant les complications sévères des vaccins contre le papillomavirus (HPV) et leur efficacité limitée/douteuse. Les études d’efficacité auraient été « mal orchestrées, insuffisantes et uniquement axées sur les anomalies de bas grade qui se résolvent naturellement ». De nombreux cas et études à grande échelle attestent non seulement de syndromes neurologiques graves, mais aussi de nombreuses maladies auto-immunes, dont le SFC (syndrome de fatigue chronique), le diabète de type 1, le syndrome de Guillain-Barré (affection du système nerveux), la thyroïdite d’Hashimoto (inflammation auto-immune de la thyroïde), la myélite (inflammation auto-immune de la moelle épinière), l’encéphalomyélite (douleur musculaire à cause d’inflammation cerebrale/ de la moelle épinière), etc.
Des substances toxiques présentes dans le vaccin peuvent en être à l’origine. Certains chercheurs soulignent la forte similitude des épitopes du HPV et du génome humain. L’activation immunitaire pour les épitopes du HPV peut amener le système immunitaire à attaquer les épitopes génomiques similaires.
Les infections au papillomavirus sont généralement éliminées par le système immunitaire au fil du temps, le microbiote jouant un rôle crucial. Moins de 10 % des infections sont persistantes.
En Australie, des recherches ont indiqué que « 13 ans après les recommandations du Gardasil, une augmentation de 30 % du cancer de l’utérus avait été enregistrée chez les femmes de 30 à 34 ans ».
En 2016, le Royaume-Uni recensait déjà une augmentation des diagnostics chez les femmes de 20 à 24 ans.
En 2015, l’on prévenait déjà que chez les femmes vaccinées contre le papillomavirus, les infections non vaccinales à haut risque étaient plus élevées que chez les femmes non-vaccinées.
L’alimentation et le mode de vie, et en particulier le microbiome, jouent un rôle déterminant dans le « rétablissement naturel » des infections au HPV…
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Sources:
Rees CP et al. Will HPV vaccination prevent cervical cancer? J Royal Soc Medicine 2020; https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0141076819899308
Issanov A et al. Does Vaccination Protect against Human Papillomavirus-Related Cancers? Preliminary Findings from the United States National Health and Nutrition Examination Survey (2011–2018). Vaccines 2022; 10:2113.
Jørgensen L, Gøtzsche PC, Jefferson T. Benefits and harms of the human papillomavirus (HPV) vaccines: systematic review with meta-analyses of trial data from clinical study reports. Syst Rev 2020; 9:43.
Mehlsen J et al. Autoimmunity in patients reporting long-term complications after exposure to human papilloma virus vaccination. J Autoimm 2022; 133:102921.
Miranda S et al. Human papillomavirus vaccination and risk of autoimmune diseases: A large cohort study of over 2 million young girls in France. Science direct 2017; 35(36):4761-68.
Hviid A et al. Human papillomavirus vaccination of adult women and risk of autoimmune and neurological disease. J Int Med 2017; https://doi.org/10.1111/joim.12694
Arnheim-Dahlström L et al. Autoimmune, neurological, and venous thromboembolic adverse events after immunisation of adolescent girls with quadrivalent human papillomavirus vaccine in Denmark and Sweden: cohort study. BMJ 2013;347. doi: https://doi.org/10.1136/bmj.f5906
Castanon A, Sasieni P. Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern? Prev Med 2018; 107:21-28.
Guo F, Hirth JM, Berenson AB. Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20–26 years). Hum Vaccin Immunother. 2015 Oct; 11(10): 2337–2344.
Nielsen MB, Daugbjerg SW. The Vaccinated Girls: Voices from Denmark's HPV Inoculation Scandal. 2017 https://www.goodreads.com/book/show/27277129-the-vaccinated-girls
https://childrenshealthdefense.org/defender/truth-hpv-vaccine-part-2-et/
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https://childrenshealthdefense.org/defender/truth-hpv-vaccine-part-2-et/
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