Pour de nombreuses personnes, l’hiver va de pair avec des effets négatifs sur l’humeur et la résistance mentale, en plus de taux faibles de vitamine D (moins de soleil), d’une activité physique réduite (en extérieur) et d’un taux de mortalité cardiovasculaire plus élevé.
Les chercheurs ont établi un lien entre tous ces facteurs et ont étudié la corrélation avec l’alimentation et l’activité physique.

Ils ont constaté que la consommation de poissons gras, comme le saumon, en hiver est associée à une activité physique (plus) régulière.
Des patients ont été assignés sans le savoir à un groupe d’intervention (1 600 UI de vitamine D) et à un groupe de contrôle (placebo). En moyenne, le groupe d’intervention affichait des taux de vitamine D plus élevés à la fin de l’étude, le groupe de contrôle des taux moins élevés, mais avec de grandes différences individuelles.

Enfin, il s’est avéré que les patients qui présentaient des taux plasmatiques plus élevés (>75 nmol/L) effectuaient le plus d’activités physiques et étaient également plus forts mentalement, et inversement.
Conclusion : plus de recherches sont nécessaires, mais il est préférable de combiner un supplément à une activité physique et à une alimentation et un mode de vie sains. Néanmoins, cela s’avère difficile avec un faible statut en vitamine D...

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