Pfizer et Moderna sont des vaccins à ARN messager. Après l’injection, l’ARN messager pénètre dans un vaisseau sanguin et circule dans notre organisme (il ne reste donc par sur place comme on le prétend !). Il va produire des protéines Spike. Celles-ci devraient alors mettre notre système immunitaire en action pour produire des anticorps contre le coronavirus. MAIS : en chemin, elles s’attachent à - et endommagent – des plaquettes et des cellules endothéliales (dans les vaisseaux sanguins, les poumons, etc.). Elles se déposent aussi dans des organes : moelle osseuse, rate, foie, glandes surrénales et … ovaires.

Astra Zeneca et J&J suivent un autre procédé : ils utilisent un adénovirus comme vecteur de gènes du coronavirus (= ‘recombinant adenovirus type-5-vectored COVID-19 vaccine’). L’adénovirus transporte ces gènes jusque dans des cellules de notre corps, où l’ADN-Spike est copié. Le résultat est donc plus ou moins le même, sauf que vous « recevez », en plus, un adénovirus potentiellement dangereux…
Cette technique est issue de la thérapie génique, où il semble que cet adénovirus active un gène (LMO2), qui provoque la leucémie : « insertion-oncogenèse ».

Quelques vaccins plus traditionnels sont encore en développement : avec un virus mort ou avec seulement une protéine Spike. Mais il existe déjà des études qui démontrent que les spikes elles-mêmes sont nuisibles...

Selon le Prof. Byram Bridle : « Nous pensions que la protéine Spike était une cible parfaite, nous ne savions pas que c’est une toxine. La protéine Spike semble à elle seule être responsable de presque tous les dommages au système cardiovasculaire quand elle circule dans le corps. »

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