Les soins de santé constituent un secteur de taille, lequel représente une proportion importante des dépenses. Les entreprises pharmaceutiques visent à maximiser les bénéfices de leurs actionnaires en réalisant un maximum de ventes par tous les moyens possibles. Elles paient pour des formations et des recherches académiques, influencent les médecins et les scientifiques, investissent des sommes colossales dans le financement des scientifiques et des études, etc. Et ce n’est pas sans conséquences, comme cela a été de plus en plus clairement et douloureusement démontré ces dernières années.

Selon des chercheurs, la majorité des études dans les revues médicales « de renom » sont directement ou indirectement payées par l’industrie. Cette manipulation va loin : elle va de la subordination du « sponsoring » à des « résultats d’études positifs » à la rémunération de médecins/scientifiques pour qu’ils prêtent leur nom à des études rédigées par l’industrie elle-même. Comparaison à la pharmacologie avec des produits de qualité inférieure, mise en évidence des résultats positifs et occultation des résultats négatifs, etc. Tout comme l’a fait l’industrie du tabac il y a 50 ans.
Les études sur les vitamines et moyens naturels sont à peine sponsorisées et leur publication est compliquée. En outre, les études sont souvent réalisées avec des produits de substitution synthétiques, ou à des doses beaucoup trop faibles, afin de présenter le remède naturel sous un mauvais jour et avec un résultat « négatif ».
Dr Alex Vasquez : « L’intention de l’étude déterminera son résultat, quelle que soit la valeur de ce qui est testé. »

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