Les confinements n’en finissent plus, les masques buccaux et la distanciation sociale sont devenus la norme… Les enfants et les jeunes ne mènent plus une vie normale : écoles fermées, cours à distance, décrochage scolaire, restriction des contacts sociaux, des hobbies, etc.
Il ressort de recherches néerlandaises que 62,3 % des parents s’inquiètent de l’influence de la crise sanitaire sur le développement de leurs enfants.

Des recherches montrent également que, même chez les jeunes, la solitude a augmenté et la résistance morale (résistance au stress) a fortement diminué. Alors, que des étudiants se révoltent de temps en temps, ce n’est, évidemment, que parfaitement normal, et malgré tout parviendront-ils encore peut-être à réussir leurs études et leur vie sociale. Espérons. Car le pourcentage de jeunes aux prises avec des problèmes psychologiques est passé de 23 à 44%.

Mais à quoi sert d’angoisser les plus jeunes et de leur imposer la distance sociale ? Ils ratent, à un âge critique, la possibilité de construire leurs aptitudes sociales. De plus, ils apprennent que les autres sont dangereux et qu’ils sont eux-mêmes un danger pour leurs grands-parents…
La prochaine génération en sortira-t-elle socialement handicapée ???

Augmenter la résistance chez les enfants
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