La réponse, malheureusement, nous ne l’avons pas. Nous n’y voyons même pas très clair nous-mêmes. Il y a sans nul doute d’autres intérêts en jeu que simplement la santé publique, mais il est évident que cela n’a rien à voir avec la prévention.
Des tests PCR positifs ne sont pas synonymes de contaminations au Covid. Certains scientifiques parlent d’une marge d’erreur de 60%. L’inventeur du test PCR a plusieurs fois mis en garde sur le fait que ces tests ne sont pas adaptés pour un dépistage. Et les nouveaux tests rapides sont encore plus imprécis.

Pourquoi seuls les cafés et les restaurants ont-ils dû fermer alors qu’il n’existe aucune preuve qu’ils soient responsables du nombre croissant de contaminations ? Et alors même qu’ils jouent un rôle crucial dans le bien-être de bon nombre de gens. En particulier les personnes vivant seules, qui sont maintenant plongées dans l’isolement à cause du comportement d’une minorité de gens.
Pourquoi ne se concentre-t-on pas sur les foyers évidents - et clairement identifiés - qui, selon certains chiffres (censurés) sont responsables de plus de 80% des admissions à l’hôpital ?

Pourquoi des ‘entreprises’, comme par exemple les clubs de football, peuvent-elles impudemment continuer à ignorer toutes les règles ? Une grand-mère ne peut pas serrer ses petits-enfants dans ses bras, mais des footballeurs en sueur et haletant, eux, peuvent le faire sous les yeux de milliers de gens…

Pourquoi donne-t-on aux gens un faux sentiment de sécurité ?
Les masques faciaux ne protègent dans le meilleur des cas seulement que des grosses gouttes quand quelqu’un tousse ou éternue. Pourquoi n’insiste-on pas sur l’inutilité des masques faciaux en tissu et des visières transparentes contre les aérosols qui répandent les virus ?

Pourquoi ne communique-t-on jamais ouvertement sur la prévention ?
On ne parle jamais de mesures simples (en plus de limiter vos contacts) pour tout un chacun comme aérer et prendre chaque jour de la vitamine D. Pourtant, ce sont des mesures qui peuvent prévenir des milliers d’admissions à l’hôpital et épargner des millions à la sécurité sociale.

S’agit-il vraiment seulement d’alarmisme de pouvoir vacciner les gens en masse ?
Jamais encore un vaccin efficace sur le long terme n’a pu être développé contre un (corona)virus qui fait rage (SARS, MERS, VIH, Ebola, Zika, …) Même pas contre les quatre coronavirus du rhume qui reviennent et circulent chaque année à l’automne.
Pourquoi réussirait-on alors maintenant contre un virus qui est encore en pleine mutation ?

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