Les somnifères et les narcotiques ont bien peu d’avantages (excepté l’idée qu’ils aident à dormir ?), ils comportent de nombreux risques et coûtent énormément d’argent en soins de santé.
Des chutes accidentelles au cancer et au décès prématuré, en passant par la dépression, la démence et Alzheimer…

De récentes recherches ont encore révélé d’autres complications :
- Un usage régulier de somnifères augmente le risque d’infections rénales et urinaires (pyélonéphrite) chez les femmes.
- Un usage actif de zolpidem (Stilnoct) multiplie par 7 le risque de pancréatite aiguë.
Tout comme bon nombre d’autres ‘médicaments habituels’ (tels que dafalgan, simvastatine, entre autres) : une étude australienne a déterminé l’incidence à 3,4 % des cas de pancréatites. Une pancréatite aiguë est une maladie très douloureuse et grave qui s’accompagne d’un risque élevé de mortalité.
- Le Zolpidem est également associé à un risque juqu’à 4 fois plus élevé d’abcès hépatique (abcès hépatique à pyogènes) ; le risque subsiste encore longtemps après l’arrêt du médicament !

Les auteurs concluent que les médecins devraient être plus prudents avec la prescription de somnifères, et s’employer davantage à trouver les causes (des insomnies) et à recourir à des remèdes naturels.


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