ABC SANTE - Articles
22 janvier 2014
Les antidouleurs provoquent des pertes auditives
| 22/01/2014 |
| 22/01/2014 |
Une étude menée par la célèbre Université de Harvard suggère que les médicaments antidouleur jouent un rôle important dans la perte de l’audition. Les femmes qui prennent un antidouleur deux fois par semaines courent 25% plus de risque de perdre (partiellement) leurs facultés auditives.
Les médicaments antidouleur étudiés étaient l’ibuprofène et le paracétamol. L’aspirine n’augmente pas ce risque.
Les antidouleurs diminuent le flux sanguin vers les structures les plus fines de l’oreille interne. Cette partie de l’oreille contient de fins vaisseaux capillaires qui peuvent rapidement subir des dommages irréparables. Pour bon nombre de personnes, les antidouleurs sont indispensables, mais il s’agit d’en user avec prudence.
Conseils pour prévenir les maux de tête !
Lombalgie aiguë ! Une brève période de récupération, puis recommencer à bouger
Lire aussi :
Ginkgo biloba et problèmes auditifs
Des antioxydants contre la perte de l’ouïe
Des analgésiques et la tension artérielle
Les médicaments antidouleur étudiés étaient l’ibuprofène et le paracétamol. L’aspirine n’augmente pas ce risque.
Les antidouleurs diminuent le flux sanguin vers les structures les plus fines de l’oreille interne. Cette partie de l’oreille contient de fins vaisseaux capillaires qui peuvent rapidement subir des dommages irréparables. Pour bon nombre de personnes, les antidouleurs sont indispensables, mais il s’agit d’en user avec prudence.
Conseils pour prévenir les maux de tête !
Lombalgie aiguë ! Une brève période de récupération, puis recommencer à bouger
Lire aussi :
Ginkgo biloba et problèmes auditifs
Des antioxydants contre la perte de l’ouïe
Des analgésiques et la tension artérielle
Sources:
Curhan SG, Shargorodsky J et al. Analgesic use and the risk of hearing loss in women. Am J Epidemiol. 2012 Sep 15;176(6):544-54
Curhan SG, Shargorodsky J et al. Analgesic use and the risk of hearing loss in women. Am J Epidemiol. 2012 Sep 15;176(6):544-54