Une vie sociale de qualité est bénéfique pour la santé, et ceci vaut pour toutes les tranches d’âge. Dès l’adolescence, l’isolement social provoque de plus fortes concentrations en protéine C réactive, un marqueur d’inflammation. Plus de protéines C réactive dans le sang signifie en gros que vous êtes en moins bonne santé. Prendre conscience que vous pouvez toujours compter sur quelqu’un empêche également une augmentation chronique des hormones de stress, qui accroissent le risque d’hypertension et de diabète.

Les résultats les plus éloquents proviennent d’une étude parue en 2010. A l’époque, les chercheurs ont découvert qu’un réseau social réduit de 50% le risque de mortalité précoce. Ce qui signifie, pour le dire crûment, que la solitude est tout aussi nocive que le tabac !

Comment réduire le risque de dépression ?
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