L’épice jaune or qu’est le curcuma est connue depuis déjà des milliers d’années pour ses propriétés bénéfiques sur la santé. Ses composants actifs, connus sous le nom de curcumine (en fait un ensemble de molécules apparentées) ont de fortes propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et anticancéreuses. De récentes études mettent l’accent sur la capacité ‘neuroprotectrice’ (qui protège les neurones et le cerveau) de la curcumine. C’est pourquoi, l’usage du curcuma en cuisine, ou sous la forme d’un complément de curcumine, constitue une bonne option pour lutter contre le vieillissement cérébral et d’autres maladies de vieillesse du système nerveux. La neurodégénérescence est la détérioration progressive de la structure et des fonctions des neurones, donc du système nerveux, avec une augmentation du risque de décès.

Mais la curcumine a également une action thérapeutique : son effet en cas de ou pour prévenir la maladie d’Alzheimer a déjà fait l’objet de recherches. La curcumine semble combattre la formation de plaques, protéger de leur toxicité et réparer les dommages aux neurones. Le rétablissement des fonctions normales motrices et cérébrales a été démontré dans des études animales.
Mais ceci vaut aussi pour d’autres formes de démence et de maladies neurodénégératives : maladie de Parkinson, d’Huntington, maladies à prions, sclérose en plaques (SEP), sclérose latérale amyotrophique (SLA), des maladies des yeux telles que le glaucome et la dégénérescence maculaire…

La prévention du vieillissement du cerveau
Comment prévenir la maladie d’Alzheimer ?
Protection et développement de la cognition et de l’intelligence

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