A l’occasion de la semaine internationale de la maladie coeliaque (du 14 au 21 mai), l’association flamande de la maladie coeliaque met en garde : seulement 10% des gens souffrant de la maladie coeliaque ou d’intolérance au gluten en sont conscients. Il faudrait en moyenne quelque 13 années pour qu’un patient soit diagnostiqué. A cause de cette maladie, les personnes touchées courent plus de risque de complications comme l’ostéoporose, des affections neurologiques et, dans de rares cas, un cancer de l’intestin grêle. Ceci ne fait l’unanimité dans le monde médical, mais ça a été prouvé dans une étude scientifique, qui a démontré que les dommages provoqués à l’extérieur de l’intestin peuvent être très graves. Ca a aussi été catégoriquement prouvé en cas d’autisme.

On trouve du gluten dans les céréales, surtout dans le blé, mais aussi dans le seigle, l’orge, l’épeautre et le kamut. Le gluten ne peut pas être entièrement digéré et endommage la paroi intestinale, ce qui entraîne une mauvaise absorption des nutriments et surtout un intestin très perméable. C’est ainsi que des substances indésirables et des microbes se trouvent dans le sang et peuvent provoquer des dégâts ailleurs.

Une barrière intestinale renforcée = une immunité renforcée
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