Tout le monde connaît les infâmes coliques néphrétiques en cas de pierres aux reins. Ces coliques apparaissent quand l’urine contient plus de substances qui peuvent cristalliser (calcium, acide oxalique, acide urique) qu’elle ne peut dissoudre. Mais aussi lorsque l’urine renferme trop peu de substances “fixatrices” qui contrent la formation de cristaux, telles que le magnésium, l’acide phytique (des fibres) et l’acide citrique…

Certaines personnes courent plus de risques de fabriquer des pierres aux reins, mais l’alimentation joue un rôle très important. Les principaux facteurs de prévention sont : boire beaucoup (de l’eau !) et avoir une alimentation très végétale. Les fruits et les légumes contiennent beaucoup d’eau, ils désacidifient et apportent de nombreuses “substances fixatrices”.
Ne manger que peu voir pas du tout de fruit ni de légumes créent des circonstances très favorables à la formation de pierres aux reins. Et toute personne qui, après un traitement contre des pierres aux reins, ne change pas son alimentation, risque de voir se former de nouvelles pierres…

Certaines plantes sont même dotées d’un super pouvoir à ce niveau : le thé vert, le persil, la grande ortie, la grenade, la framboise, l’origan, le cumin noir, le thé de Java (orthosiphon), l’hibiscus, etc. Des phytomédicaments spécifiques : la curcumine, les catéchines, la quercétine, la rutine, …
Et il existe aussi des compléments alimentaires spécifiques qui combinent ces ‘champions’ pour devenir un remède efficace contre les pierres aux reins.

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