Le cancer de la vessie est le deuxième cancer urogénital le plus fréquent avec 550.000 cas confirmés dans le monde en 2018 et le nombre de cas reste en augmentation. Il est, en outre, difficile à traiter : grande résistance au traitement habituel et un risque élevé de rechute.

Il n’est donc pas étonnant que de plus en plus de patients optent pour des thérapies complémentaires et des produits naturels. Et les études scientifiques suivent cette tendance.
Il ressort de publications récentes qu’un certain nombre de molécules saines méritent bel et bien une place dans le traitement du cancer de la vessie.
Sont citées : la curcumine, le sulforaphane (issu du brocoli et autres sortes de crucifères/variétés de choux), le resvératrol, la quercétine (oignons et thé), le 6-gingérol (gingembre), les EGCG/le gallate d'épigallocatéchine issu du thé vert et divers autres polyphénols/bioflavonoïdes.

Il ressort de plusieurs études que toutes ces molécules sont importantes pour la régulation de la signalisation cellulaire, qui détermine ce qu’une cellule va faire : proliférer (multiplication néfaste de la cellule cancéreuse), la mort cellulaire, la survie, … Et ceci peut faire la différence entre le développement d’une tumeur ou le maintien de/le retour vers une situation cellulaire saine.
Tous disponibles dans une alimentation fraîche et saine, et en complément…

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