Le 21 décembre 2020, plus de 120 scientifiques en Europe, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis ont envoyé une lettre ouverte à tous les gouvernements dans le monde, pour confirmer qu’il existe des preuves irréfutables que la vitamine D réduit les infections aux COVID-19, de même que les hospitalisations et les décès. Ils appellent à mettre immédiatement tout en œuvre pour que chacun ait un apport plus important en vitamine D (4.000 UI*/jour).
Ils réagissent ainsi aux allégations persistantes de « sources officielles » qui nient l’existence de preuves suffisantes pour soutenir l’utilisation de la vitamine D contre le COVID-19.

Les scientifiques affirment que les « structures-COVID et les facteurs de risques » correspondent précisément à ceux d’une déficience en vitamine D : les carences augmentent le risque de manière très significative. Ils citent plus de 70 études scientifiques qui soutiennent cette affirmation, tant dans le cas du COVID-19 que pour le risque d’infection et de décès de manière plus générale. Ils démontent en même temps l’argument souvent avancé de la soi-disant toxicité qui est inexistante pour la dose proposée et même pour des dosages plus élevés (mais qui existe bel et bien en cas d’une injection en bolus de 500.000 UI).
*UI : l’unité internationale, elle correspond à 100 µg (microgrammes).
La dose journalière recommandée en Europe est de 4.000 UI, mais en Belgique, elle est réduite à 3.000 UI.

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