Un article paru dans le respecté ‘Britisch medical Journal’ (BMJ) évalue le contenu de mails hackés au sujet du vaccin contre le COVID-19 de Pfizer-BioNTech. Il ressort de ces mails que certains lots commerciaux parmi les premiers avaient « des niveaux d’ARNm intacts plus faibles que prévu ».
Lors de ce contrôle, des scientifiques de l’EMA étaient inquiets quant à la quantité d’‘ARNm modifiés et détruits’. Ils ont introduit des réclamations, qui ont disparu après des échanges de courriers avec Pfizer et après quoi, le vaccin a été approuvé très rapidement.

Le problème, c’est que l’ARNm est très instable, raison pour laquelle il est ‘emballé’ dans des ‘LPN’s’ (NPLs) et doit être conservé à des températures extrêmement basses.
Si le pourcentage d’ARNm intact dans les vaccins est trop faible (en dessous de 70 à 75%), il y a une crainte que le système immunitaire de la personne vaccinée réagisse trop peu et qu’il ne développe donc pas une immunité suffisante.
Selon le Prof. Crommelin : « la molécule d’ARNm intacte et entière est essentielle pour l’efficacité en tant que vaccin. »

Encore une raison d’inquiétude : les ‘nanoparticules lipidiques’ ou NPLs.
Selon le généticien JW Ulm : « Aujourd’hui, il existe très peu de rapports sur la localisation tissulaire des NPLs utilisés, alors qu’il est d’un intérêt vital de savoir où vont ces NPLs. » Ndlr : Où une réaction va-t-elle se déclencher.

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